Notre président de 2017 à 2019, Michel ANDREU-SANCHEZ, élu maire d’Erstein à 23 ans !

Par UNI Archives

Le 30 juin 2020 à 23h30

Image Notre président de 2017 à 2019, Michel ANDREU-SANCHEZ, élu maire d’Erstein à 23 ans !

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Un article récent des Dernières Nouvelles d’Alsace relate la belle aventure électorale de notre ancien responsable départemental et président de 2017 à 2019, Michel ANDREU-SANCHEZ, devenu maire de la ville d’Erstein à 23 ans !

“Il a mis ses études de droit à l’Université de Strasbourg entre parenthèses, car à seulement 23 ans, Michel ANDREU_SANCHEZ a été élu maire d’Erstein. Qui est celui qui est le plus jeune maire d’Alsace ?

Michel ANDREU-SANCHEZ a le souci de l’élégance, le chic d’un détail qui se remarque aux chaussettes rouges et le sourire avenant du gendre idéal. Celui qui se rêvait enfant commissaire de police à la manière d’une Julie LESCAUT, a remporté les élections municipales à Erstein, devançant largement ses concurrents.

A 23 ans, l’étudiant en droit public à l’Université de Strasbourg a mis son Master 2 entre parenthèses pour “au moins un an”. Quand l’étudiant annonce sa candidature en juillet 2019, il surprend même ses parents. C’est peut-être de ses ascendances espagnoles paternelles que lui viennent ses valeurs -celles du mérite, de la responsabilité et du civisme. Su côté maternel, il a reconstitué l’arbre généalogique jusqu’à la Révolution française.

S’il est né en Bourgogne d’un père militaire et d’une mère employée, Michel ANDREU_SANCHEZ arrive à Erstein à l’âge de deux ans. Le plus jeune maire d’Alsace a peaufiné son histoire mais la conte avec naturel. L’adolescent se passionne pour l’histoire et la musique, il joue de la clarinette et apprécie les répertoires classique et klezmer. La politique n’est pas une vocation mais une affaire de rencontres marquantes, d’engagements dès le lycée où il représente les élèves au conseil académique.

A la faculté de droit de Strasbourg, il milite pour l’Union Nationale Interuniversitaire (UNI). En politique, c’est la figure de SARKOZY qui va le marquer et l’inciter à prendre sa carte à l’UMP. L’étudiant assiste à sa première réunion où Jean-Pierre RAFFARIN présente son livre “Je marcherai toujours à l’affect”. Une phrase qu’il pourrait signer car “l’affect est essentiel pour être proche des gens, dit-il. J’aime bien rappeler que le maire est un élu à portée d’engueulades”.

Après dix ans de responsabilité au sein de l’UNI, il se recentre sur ses études et l’attentat du 11 décembre 2018 à Strasbourg opère comme une prise de conscience. Désormais adhérent aux Républicains, le futur édile baigne dans le milieu politique, et à Erstein s’implique dans l’associatif. Alors que les élections approchent, Michel est loin d’imaginer se présenter mais à force de discussions avec les habitants, peu à peu chemine l’idée de faire de nouvelles propositions plutôt que d’être uniquement dans la critique. Un élan “sans étiquette politique” se constitue autour de lui, agrégeant des personnes issues de la société civile.

“C’est un scrutin de liste, je ne suis pas jupitérien, autour de moi, il y a une équipe d’adjoints choisis de générations et de profils différents à qui je fais confiance : mais il y a des moments où il faut arbitrer”. Beaucoup lui reconnaissent ses capacités de fédérer, d’écouter et sa sensibilité. Sa campagne électorale, mêlant réseaux sociaux, permanences en ville et l’envie de changement des Ersteinois, le conduit à la victoire.

Reste que si le talent n’attend pas les années, la crise sanitaire et économique à laquelle doit faire face le jeune édile est très compliquée. “On est en train de faire un état des lieux de la situation des entreprises et du tissu associatif si riche à Erstein, des commandes de masques et de gel hydroalcoolique pour faire face à l’épidémie”. Il y a bien des projets phares comme la transformation de la place des Fêtes en marché couvert, lutter contre la désertification du centre-ville, reverdir Erstein, créer un centre socioculturel, etc.

Pour l’heure, le maire n’a pas encore revu la décoration de son bureau mais Michel ANDREU-SANCHEZ envisage d’y accrocher la photo du général de GAULLE prise en 1957 sur la place de l’Hôtel de Ville d’Erstein, qui avait été remisée aux archives.”

FELICITATIONS A LUI !!!

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