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Il est frappant de constater à quel point les partisans
de la gauche, qui aiment pourtant à se revendiquer
comme les « garants emblématiques » de ce terme à
la mode qu’est la « tolérance », peuvent faire preuve de discriminations envers certains groupes d’individus. Evidemment, nous autres sympatisants de droite sommes
considérés à leurs yeux comme des individus malades,
ou bien encore comme des simples d’esprit lorsqu’il nous
prend l’audace d’aller clamer notre appartenance politique.
Si les journalistes font parfois référence à la gauche dite « intellectuelle », force est de constater que la réciproque n’existe pas à notre profit. Serionsnous
alors tous de sombres imbéciles ? En réalité, les
médias sont manipulés par la gauche qui s’est emparée de
la majorité des écoles de formation de journalistes. Fin
stratège, la gauche, lorsqu’elle fut au pouvoir, s’est empressée de mettre en place nombre de ses amis aux postes-clé afin d’avoir la mainmise, ou au moins une influence non dissimulée, notamment sur l’opinion publique. Les principes à valeur constitutionnelle tels que les libertés d’opinion, d’expression, et de pensée, semblent dès lors devoir rester lettre morte pour ceux qui dénoncent les faiblesses du système socialiste. Car être gauchiste, c’est être à la mode, on en est fier, sans même avoir la moindre idée des concepts inhérents à cette tendance politique. Ainsi, les socialistes sont populaires. La gauche-paillettes surtout. N’ont-ils pas créé la fête de la musique ? Qui donc l’ignore aujourd’hui? Tous les ans on nous le rabâche tout au long du 21 juin, jour de fierté socialiste… La droite se cache encore trop souvent, elle n’ose pas être elle-même, affirmer haut et fort ses valeurs propres. Elle se laisse impressionner par l’image de générosité que la gauche a accaparée sans pudeur. Voila pourquoi il est temps aujourd’hui de réagir, de reconquérir les cercles de pouvoir afin de faire entendre
notre voix, unie…