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Jeudi 24 octobre, l’université Bordeaux Montaigne organisait, dans le cadre d’un cycle de conférences, une conférence sur le thème de “l’être humain à l’époque de sa reproductibilité technique”, était invitée Sylviane Agacinski, philosophe opposée à la marchandisation du corps humain.

Apprenant sa venue, des minorités d’extrême-gauche (notamment Solidaires étudiants) ont décidé d’empêcher la tenue de la conférence au motif que Sylviane Agacinski est opposée à la PMA et à la GPA.

Face aux menaces violentes, l’université s’est sentie obligée d’annuler la conférence car étant dans l’incapacité d’assurer la sécurité de celle-ci…

Ces derniers mois, la liberté d’expression et la liberté de débattre sont menacées dans l’enseignement supérieur français.
En effet, des minorités d’extrême-gauche multiplient les menaces et les actes violents, dans toutes les universités, afin de faire interdire des conférences, des spectacles, des cours, des modules de formation, etc.
Ces agissements sont absolument inadmissibles ! L’université doit rester un lieu où le débat mais aussi, et surtout, la liberté d’expression doivent être sacralisés.

L’UNI appelle les présidents d’université et Madame le Ministre de l’Enseignement supérieur à faire preuve de courage pour défendre la liberté de débattre.
Les mots ne suffisent plus, il est temps de passer aux actes et donc aux sanctions à l’encontre de ces minorités ultra-politisées qui s’arrogent le droit de censurer tel ou tel intervenant.