De nouvelles agressions à l’encontre des militants de l’UNI.

Par UNI Archives

Le 11 avril 2014 à 13h27

UNI

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Dans la nuit du 9 au 10 avril des militants de l’UNI collaient sur l’un campus de l’université de Bordeaux lorsqu’ils ont été pris à parti par plusieurs personnes appartenant à une faction de l’extrême gauche. Cela a été très brutal et rapide. Ils ont cassé du matériel et volé une partie du matériel. Les militants de l’UNI furent bousculés et obligés de batailler pour récupérer leur matériel. Une nouvelle plainte a été déposée contre ces individus.

Voir l’article dans la presse régionale :
http://www.charentelibre.fr/2014/04/10/un-etudiant-charentais-a-bordeaux-agresse-par-les-antifas,1889901.php

Les militants d’extrême gauche non contents de semer la terreur passent aujourd’hui aux agressions physiques. Lors des élections universitaires de l’université de Montpellier III, des individus ont jeté un verre rempli de détergeant au visage de deux militantes de l’UNI brûlant ainsi l’une d’entre elles sévèrement. La scène a été filmée par les caméras de surveillance de l’université. Une plainte a naturellement été déposée et une personne a d’ores et déjà été interpellée. Cette personne avait déjà été condamnée à de la prison avec sursis.

Les groupuscules d’extrême-gauche multiplient les intimidations, les insultes et les lettres de menaces sont qui devenues quasiment quotidiennes dans certaines universités. Plusieurs tentatives d’agression ont également eu lieu dans certaines universités de la capitale où les militants d’extrême-gauche vont régulièrement au-delà des insultes.

L’UNI rappelle que le 4 avril 2012 suite à l’agression de son président, une plainte avec constitution de partie civile avait été déposée. Deux ans après les faits la justice n’a encore pris aucune mesure pour sanctionner ces actes de violence.

L’UNI demande aux universités et aux forces de l’ordre de mettre fin à l’impunité de ces groupes d’extrême-gauche qui usent de la violence pour empêcher le débat d’idée. Ces méthodes dignes d’un autre âge ne doivent plus avoir lieu dans les universités en France.

L’UNI demande à Benoit Hamon de condamner clairement les violences de ces groupuscules. Ce deux poids deux mesures que les médias et les politiques entretiennent ne peut plus durer.

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