Face aux blocages, l’UNI demande que les présidents des universités concernées fassent tout ce qui est en leur pouvoir afin que cessent ces situations.
Alors que le gouvernement a fait plusieurs annonces la semaine dernière visant à répondre aux inquiétudes de la communauté universitaire et en particulier des enseignants-chercheurs, et que des concertations sont en cours avec les syndicats enseignants, des étudiants subissent des blocages inacceptables et ne peuvent étudier correctement.
Faute de réussir à rassembler au-delà d’un cercle restreint de militants, les contestataires multiplient autant les mots d’ordre, qui sont souvent bien éloignés des problèmes universitaires (réévaluation du SMIC, pouvoir d’achat, conflit en Guadeloupe, régularisation des sans-papiers…) que les actions radicales.
Plusieurs sites universitaires sont bloqués depuis hier, souvent par des minorités, organisées, et qui représentent les franges radicales de l’extrême gauche. A Perpignan hier, voyant qu’ils ne réussissaient pas à mobiliser, quelques dizaines d’étudiants ont sorti tables et chaises des classes de cours pour bloquer les accès à toute l’université. Plusieurs facultés de lettres et sciences humaines sont touchées également (Tours, Angers, Tolbiac, Aix-Marseille 1…)
Si ces blocages n’ont lieu que dans très peu d’endroits (une dizaines d’universités sont touchées au total), ce sont néanmoins des milliers d’étudiants qui en sont victimes. Rajoutés aux cours que certains enseignants n’assurent pas depuis parfois plus de deux mois, ou aux rétentions de notes qui ont lieu dans certaines universités, les agissements de ces minorités d’agitateurs risquent une nouvelle fois de pénaliser gravement les étudiants.
Par exemple, à l’université Jean Monnet de Saint-Etienne, ou à la faculté de psychologie de l’université Paris-Descartes, les étudiants sont empêchés d’aller en cours depuis plusieurs semaines, et sont menacés de voir leurs examens reportés.
L’UNI rappelle que les blocages des facs sont interdits par la loi, et que nul n’a le droit d’empêcher un étudiant qui le souhaite de pouvoir étudier librement. L’UNI demande que les présidents des universités concernées par les blocages fassent tout ce qui est en leur pouvoir afin que cessent ces situations.
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