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L’IEP de Toulouse, le plus à gauche de France, s’est une nouvelle fois distingué en répondant à l’appel à la grève générale de Sud étudiant Sciences Po Paris contre la hausse des frais d’inscription.

CPE 2006, LRU 2007,…c’est toujours une minorité de blocage qui prétend donc faire la loi en usant de la force (le blocage des locaux) comme moyen d’action privilégié, pour un oui ou pour un non.
Comme lors des mouvements précédents, les étudiants d’extrême gauche souhaitent ainsi par tous les moyens faire la jonction avec les autres sources de contestation : lycéens,… Tout cela n’est bien sûr pas très anodin, alors que les bonnes âmes soixante-huitardes sont actuellement en train de commémorer leur opération subversive du
printemps 68 !

Lors des AG du début de la semaine à l’IEP, les étudiants d’extrême gauche emmenés par l’AGET-FSE, prétendant défendre les intérêts des étudiants et la liberté d’expression, ont encore une fois muselé tous ceux qui étaient d’un avis contraire. De plus quelle légitimité pour 90 étudiants qui votent un blocage quand 800 autres sont contre ou s’abstiennent par peur des représailles du voisin bloqueur ? Quelle liberté pour l’étudiant quand l’accès à l’enseignement lui est refusé par une minorité non représentative de l’IEP?

STOP au blocage de l’IEP Toulouse !

A chaque blocage c’est toujours une majorité d’étudiants qui est prise en otage par une minorité sectaire. L’UNI Toulouse (la droite universitaire) condamne fermement cette prise d’otage illégale et non fondée sur des motifs clairs. L’UNI soutient à 100% les étudiants qui souhaitent travailler et passer leurs partiels librement. Comme à l’automne dernier, l’UNI offre un cadre juridique pour les étudiants
désireux de faire cesser immédiatement ce blocage sur www.uni.asso.fr.