L’inquiétante violence de l’extrême gauche universitaire perpignanaise

Par UNI Archives

Le 14 octobre 2009 à 20h13

Image L’inquiétante violence de l’extrême gauche universitaire perpignanaise

Je partage l'article

L’UNI Perpignan s’inquiète de la montée de la violence des représentants de l’extrême gauche
universitaire. En effet, ce mardi 13 octobre 2009, deux militants de l’extrême gauche sont entrés dans le
local UNI, situé sur le campus, en poussant manu militari un élu étudiant de notre groupe.

Notre élu étudiant a été repoussé par la force alors qu’il demandait aux deux personnes de quitter le
bureau. Ceux-ci ont refusé et ont continué de le repousser plus loin dans le bureau.

Ce n’est qu’après avoir réussi à les repousser et s’être enfermé dans le bureau que notre élu a pu
joindre la sécurité qui a pu intervenir rapidement.

L’UNI Perpignan condamne le comportement de ces deux militants appartenant à l’extrême gauche.
Ces deux militants ne font que démontrer le vrai visage de l’extrême gauche, employant les mêmes
méthodes d’intimidation et de violence que celles employées le week-end précédent à Poitiers.

La direction de l’Université a été saisie de cette agression et une plainte sera déposée sous peu de
façon nominative contre les deux auteurs.

Il est évident que la présence de notre mouvement sur l’Université est une gêne pour l’extrême gauche
qui ne souhaite que nous imposer le silence et instaure un climat de terreur et d’intimidation envers
celles et ceux qui osent défendre un autre point de vue que le leur.

Nous rappelons également que déjà l’année passée le Président de l’Université, Jean Benkhelil, avait été
agressé verbalement et physiquement par des personnes proches de l’extrême gauche.

Le communiqué est disponible en téléchargement au format PDF ici.

Les articles que vous risquez d'apprecier...

Article lié -

L’UNI devant Sciences Po pour dénoncer la venue de Jean-Luc Mélenchon

Article lié -

Européennes : les sections organisent des conférences avec les différents partis

Article lié -

État actuel de l’Université : censurer l’UNI plutôt que de confronter ses idées