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Dans un contexte où les dérives de l’idéologie woke s’étendent dangereusement dans les universités françaises, l’université Rennes 2 décide d’interdire toute présence masculine dans un de ses ateliers.

En effet, dans plusieurs mails envoyés aux étudiants par le service culturel de l’université, un atelier est présenté comme permettant d’avoir une première vue d’ensemble sur un logiciel musical mais seulement « en non-mixité et réservé aux femmes ».

Cette décision de la part de l’université est purement et simplement scandaleuse en raison de sa nature discriminatoire à l’égard des hommes, d’autant que cette activité est financée par l’université et donc par l’ensemble des étudiants à travers leurs contributions financières du début d’année.

La misandrie et le féminisme d’extrême-gauche n’ont pas à être subventionnés !

Cela n’est pas sans rappeler les réunions organisées sans hommes – voire sans femmes ou hommes blancs – de l’UNEF dans les locaux de plusieurs universités depuis de nombreuses années.

Cette société de la partition entre catégories sexuelle, ethnique ou religieuse n’est pas le modèle français.

Elle doit être fermement combattue et nous appelons la présidence de l’université Rennes 2, ainsi que le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche Sylvie Retailleau à réagir, à condamner et à interdire ce genre de pratiques de la part d’un service public.