Lors des questions au gouvernement, Bruno Retailleau, le Ministre de l’Intérieur, a annoncé qu’une procédure visant à dissoudre la Jeune Garde serait lancée dans les prochaines heures.
La Jeune Garde est un groupuscule antifa dont la principale source d’action est la violence. Depuis sa création en 2018, il est responsable de nombreux faits de violence lors des manifestations et contre des militants de droite. Les militants de l’UNI ont eux aussi à plusieurs reprises été agressés par ce groupuscule : en février dernier, des membres de la Jeune Garde ont poursuivi des militants de l’UNI avec des couteaux. Plusieurs membres de ce groupuscule d’ultragauche notoirement antisémite, sont actuellement mis en examen pour s’être attaqués à un jeune juif de 15 ans et l’avoir obligé à scander “vive la Palestine”.
L’UNI salue la décision du Ministère de l’Intérieur d’engager une procédure de dissolution contre la Jeune Garde. Depuis sa création, notre mouvement n’a cessé d’alerter sur les agissements violents de ce groupuscule. Cette annonce est une victoire pour tous ceux qui défendent l’ordre : l’UNI se réjouit d’avoir été entendue.
L’UNI tient à exprimer sa profonde émotion et sa solidarité envers la famille, les proches et la communauté éducative touchés par le drame survenu ce jeudi 24 avril au lycée Notre-Dame-de-Toutes-Aides. Le décès tragique d’une jeune lycéenne, ainsi que les blessures infligées à trois autres élèves, bouleversent chacun d’entre nous.
Face à cette violence inouïe, nous appelons à une prise de conscience collective sur l’importance de garantir la sécurité dans nos établissements scolaires. Alors que les agressions au couteau explosent dans les établissements scolaires, il est nécessaire que les pouvoirs publics mettent en place des mesures concrètes pour protéger la jeunesse française.
Depuis les attaques du 7 octobre 2023, des organisations d’extrême-gauche et pro-palestiniennes multiplient les blocages et les intimidations à Sciences Po Strasbourg. Ces organisations justifient ces actes par la décision de l’administration de maintenir un partenariat académique avec l’université israélienne Reichman. Ces organisations utilisent ce partenariat comme un prétexte pour faire l’apologie du Hamas et de la violence sur le campus.
Hier un nouveau cap a été franchi : après le refus de l’adoption de la motion pour suspendre ce partenariat, ces militants s’en sont pris violemment aux enseignants membre du conseil d’administration. Un professeur a été victime d’agression physique, un crachat, pour avoir défendu le maintien du partenariat, et le directeur de l’établissement a été pris à partie par une cinquantaine de militants qui l’ont suivi jusqu’à son arrêt de tramway sous les huées.
Il est important de noter qu’une des organisations impliquées, la FSE, avait directement soutenu les attaques terroristes du Hamas au lendemain du 7 octobre 2023 et fait régulièrement l’apologie du terrorisme à Sciences Po Strasbourg et à l’Université de Strasbourg. Hier, la FSE tenait un stand à la faculté de lettres de l’université avec une affiche où le message « Gloire aux résistances palestiniennes » était inscrit et où des livrets demandant la libération du terroriste Georges Abdallah étaient distribuées. L’objectif est clair : diffuser l’antisémitisme et conquérir un électorat islamiste.
Face à ces actes inacceptables, l’UNI exige des sanctions immédiates à l’encontre des étudiants responsables de ces actes de violence et d’apologie du terrorisme. Nous appelons également le ministère chargé de l’Enseignement supérieur à intervenir pour garantir la sécurité des enseignants et des étudiants en cessant de subventionner les organisations coupables de violences et d’intimidation : la FSE et l’Union Étudiante.
L’université ne doit pas céder à la pression idéologique. La liberté académique et liberté d’expression doivent être défendues sans relâche. L’UNI continuera de se battre pour que les campus restent des lieux de débat intellectuel, loin de toute pression et de toute violence.
Depuis maintenant un mois, de nombreux tags à caractère politique ont été recensés sur les campus de l’UCO, de l’Université d’Angers à Saint-Serge et à Belle-Beille, ainsi que dans la ville d’Angers.
Ces inscriptions, au-delà de leur impact sur la dégradation des lieux, se distinguent par leur extrême violence. Plusieurs d’entre elles contiennent des menaces de mort explicites, visant exclusivement les étudiants dont les opinions divergent de celles des groupes se réclamant « antifascistes ».
Fait particulièrement préoccupant : certains de ces tags sont signés par l’association d’extrême gauche “Solidaires”, structure connue pour ses prises de position radicales. L’UNI Angers rappelle que l’université est un service public : à ce titre, elle est tenue à une stricte neutralité politique et doit demeurer un espace de liberté, de respect et de sécurité pour tous les étudiants, quelles que soient leurs convictions.
L’UNI Angers condamne fermement ces actes, appelle les autorités universitaires à réagir avec la plus grande fermeté, et demande que toute la lumière soit faite sur les auteurs de ces agissements intolérables.
La violence idéologique n’a pas sa place à l’université.
Après la prise de parole du professeur Fabrice Balanche sur Cnews pour dénoncer l’organisation de ruptures du jeûne du ramadan à Lyon 2, des militants d’extrême-gauche et des islamistes ont envahi un des cours magistraux de l’enseignant et l’ont menacé. Il a été contraint d’annuler son cours. Ce n’est pas tout, encore aujourd’hui, une des salles de l’université est occupée par ces militants, qui y appellent à s’y organiser pour faire partir le professeur de l’université.
La présidence de Lyon 2 ne peut plus fermer les yeux sur ces agissements intolérables et se contenter de les condamner : elle doit agir. Signe notre pétition pour faire exclure l’ensemble des auteurs de ces menaces et soutenir le professeur !
Depuis plus d’un mois, une salle du campus Porte des Alpes de l’Université Lyon II est occupée illégalement par des militants d’extrême gauche, notamment de Solidaires. Nous y avions appris la tenue régulière de ruptures du jeûne du ramadan. Grâce à la mobilisation de l’UNI, la Présidence de l’Université a réagi en interdisant la tenue de celles-ci dans les locaux de l’Université.
Les groupuscules d’extrême gauche ont alors bloqué l’Université pour protester contre cette décision.
Or, ce mardi, les réactions de l’extrême gauche ont pris un tournant inquiétant. En effet, alors que le Professeur Fabrice Balanche qui s’était positionné publiquement contre la tenue de ces ruptures du jeûne assurait son cours magistral, des militants aux visages dissimulés sont venus perturber celui-ci aux cris de « racistes, sionistes, c’est vous les terroristes ». Le professeur a été obligé de mettre fin à son cours et de quitter l’amphithéâtre.
L’UNI demande à ce que la Présidence de l’Université Lyon II prenne ses responsabilités en sanctionnant les auteurs de ces troubles et réclame, afin de rétablir l’ordre, la fin de la mise à disposition par l’Université d’un local pour l’association Solidaires.
Depuis plus d’un mois, une salle du campus Porte des Alpes de l’Université Lyon 2 est occupée par des militants d’extrême-gauche. Ces dernier y organisent toutes sortes d’événements, y compris, des ruptures du jeûne du ramadan. Suite à l’alerte émise par l’UNI, la présidente de Lyon 2 vient d’annoncer l’interdiction de la tenue des ruptures du jeûne du ramadan dans les locaux universitaires !
Cette nouvelle victoire de l’UNI contre l’islamogauchisme dans le milieu universitaire illustre la nécessité de notre combat.
Depuis plusieurs mois, nos campus bordelais subissent des blocages incessants par des militants d’extrême gauche, mobilisés pour exiger l’arrêt des partenariats avec des universités israéliennes ou bien pour dénoncer les manques de moyens à l’Université. C’est surtout un prétexte pour bordéliser nos facs et empêcher les étudiants de jouir de leur première liberté: celle d’étudier !
Ces blocages nuisent à la valeur de nos diplômes: cours annulés ou en visio, examens reportés, tenue des partiels menacée…
Empêcher les étudiants de suivre leur cursus et de s’investir dans leur parcours est une atteinte inacceptable à leur liberté d’étudier.
De plus, les universités constatent mais n’agissent pas.
NOUS NE NOUS TAIRONS PAS FACE AU SILENCE DE NOS UNIVERSITÉS ET AUX BLOCAGES DE NOS COURS !
L’UNI BORDEAUX DEMANDE:
. LA FIN DES BLOCAGES: un recours automatique aux forces de l’ordre doit être engagé pour débloquer nos campus.
. UN RETOUR AU CALME: un service de sécurité doit être mandaté sur nos campus pour assurer le bon déroulement de nos cours et examens.
. UNE TOLÉRANCE ZÉRO: l’université doit sanctionner chaque étudiant bloqueur en les identifiant et en les conduisant en section disciplinaire.
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