Bruno Retailleau, le Ministre de l’Intérieur, a annoncé ce matin la dissolution de La Jeune Garde, un mouvement autoproclamé antifasciste. 

La Jeune Garde est un groupuscule dont la principale source d’action est la violence. Depuis sa création en 2018, il est responsable de nombreux faits de violence lors des manifestations et contre des militants de droite. Les militants de l’UNI ont eux aussi à plusieurs reprises été agressés par ce groupuscule : en février dernier, des membres de la Jeune Garde ont poursuivi des militants de l’UNI avec des couteaux. Plusieurs membres de ce groupuscule d’ultragauche notoirement antisémite, sont actuellement mis en examen pour s’être attaqués à un jeune juif de 15 ans et l’avoir obligé à scander “vive la Palestine”.

L’UNI salue cette dissolution, une mesure de bon sens que nous n’avons cessé de demander au gouvernement. Depuis la création de la Jeune Garde, l’UNI n’a cessé d’alerter les pouvoirs publics sur la dangerosité de ce groupuscule. Cette annonce est une victoire pour tous ceux qui défendent l’ordre : l’UNI se réjouit d’avoir été entendue.

Pétition de l’UNI Perpignan pour exiger l’interdiction de la conférence avec l’EMF

Ce vendredi, doit se tenir une conférence de La France Insoumise avec Raphaël Arnault et l’EMF. Sur l’affiche de promotion de l’événement, un dessin représentant une femme voilée que visiblement le visage ne doit pas être présenté.

Pour rappel, l’EMF est l’organisation étudiante gravitant dans la galaxie des Frères musulmans dans les Universités. Cette association fait partie de tout un spectre d’organisations freristes telles que le FEMYSO et réintègre progressivement nos lieux d’études avec notamment la présentation d’une liste au CROUS d’Occitanie l’année dernière.

L’UNI estime que Perpignan ne doit pas servir d’estrade aux mouvements liés aux Frères musulmans.

Nous exigeons l’interdiction de cet événement prônant des valeurs contraires aux intérêts de la République.

Je signe la pétition !

RÉSULTATS CNESER : L’UNI PROGRESSE ET CONFIRME SA PLACE DE 3ÉME ORGANISATION ÉTUDIANTE

Dans un contexte où l’UNI enregistre une forte progression dans toutes les universités, le résultat des élections des représentants étudiants au Conseil National de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche (CNESER) confirme notre dynamique avec une progression de plus de 13% de suffrages obtenus par rapport à 2023 et notre maintien comme 3ème organisation représentative. 

Cette progression et le maintien de notre 3e place devant l’UNEF et deux autres organisations d’extrême-gauche sont le fruit d’une importante implantation territoriale, de la mobilisation de militants et de nos élus étudiants, ainsi que de l’intérêt des étudiants pour notre projet et nos idées.

Une fois de plus, ces résultats témoignent de la prise de conscience des étudiants du danger que représentent les idéologies wokes, islamo-gauchistes et racialistes.

La FAGE reste première et l’Union étudiante, conserve sa deuxième place. L’UNEF continue de reculer et maintient in extremis son élu CNESER. Une énième scission de l’extrême gauche, elle, dépasse l’UNEF mais reste nettement derrière l’UNI. 

Ce résultat confirme l’UNI comme étant la seule force de droite représentative des étudiants. Nous continuerons de porter une voix combattive face au nivellement par le bas dans nos universités, aux atteintes à la liberté académique, à la censure et à toutes les dérives de la gauche et de l’extrême-gauche au sein de l’enseignement supérieur. 

Nous défendrons comme nous l’avons toujours fait l’excellence, l’insertion professionnelle et le mérite au nom de la réussite des étudiants.

Elisabeth Borne, ministre de tutelle et le Ministre délégué chargé de l’Enseignement supérieur et de la Recherche doivent enfin prendre en compte les suffrages obtenus par l’UNI et reconsidérer ses relations avec la 3ème organisation étudiante, pour l’avenir de la jeunesse française.

Pétition : Face aux problèmes de transports, Ilévia doit faire un geste envers les étudiants

Du jeudi 15 mai, au samedi 17 mai, la ligne 1 du métro desservant Lille et Villeneuve-d’Ascq a connu une panne historique. Cet événement est représentatif des problèmes récurrents de transports qu’ont subis les usagers au cours de cette année scolaire 2024-2025.

Cette année, le transport en métro est devenu synonyme de panne, de retard, et souvent d’insalubrité et d’insécurité, le tout couronné par un prix trop élevé pour un service de qualité médiocre fourni par la société privée Ilévia.

La Métropole Européenne Lilloise accueillant de nombreux établissements scolaires et universitaires, les premières victimes de cette situation sont les étudiants. Cette population plus encline à la précarité a subi de plein fouet cette crise du transport lillois, engendrant de nombreux retards, des pressions supplémentaires, voire, dans les cas les plus extrêmes des absences en examen avec toutes les conséquences qui s’en suivent. 

Face à ce que de nombreux étudiants considèrent comme un préjudice moral de la part d’Ilévia, tenue par des obligations de résultats, les mesures prises ne sont pas à la hauteur des conséquences de ces perturbations.

L’UNI Lille demande alors à Ilévia un véritable geste commercial pour les étudiants, et des garantis quant au bon fonctionnement des lignes de métro pour la prochaine année scolaire. 

Une solution pourrait être de mettre un place un abonnement annuel et mensuel à moitié prix pour les étudiants ne bénéficiant pas de réduction.

Menace de mort, propos islamistes, racisme anti-blanc : l’UNI Aix-Marseille alerte et obtient la saisine du procureur

L’UNI Aix-Marseille se félicite de la décision de la présidence d’Aix-Marseille Université de saisir le procureur de la République et d’engager une procédure disciplinaire à l’encontre d’un individu se présentant comme étudiant à la Faculté des Arts, Lettres, Langues et Sciences Humaines d’Aix-en-Provence et résident du CROUS, à la suite du signalement transmis par notre organisation.

Le 7 mai 2025, une vidéo publiée sur le réseau social Instagram montre un individu, à visage découvert, proférant une menace de mort explicite à lencontre dune enseignante de luniversité, accompagnée d’insultes racistes, sexistes et religieuses d’une extrême violence : « QuAllah la tue, elle et ses enfants, wallah ! ». Ce contenu est complété par des publications glorifiant le Hamas, relayant des messages antisémites, anti-policiers, anti-français, ainsi que des appels à la haine raciale contre les personnes blanches.

À la suite de notre alerte, lUniversité a immédiatement saisi le procureur, conformément à l’article 40 du Code de procédure pénale, et a engagé une procédure disciplinaire interne. Le CROUS Aix-Marseille-Avignon a également été saisi afin d’examiner la situation du résident mis en cause.

Cette affaire confirme point par point les constats du rapport du ministère de lIntérieur, déclassifié le 21 mai 2025 sur l’islamisme politique selon lesquels :

– l’université comme une cible d’entrisme,

– les étudiants comme une population vulnérable au discours radicalisé,

– les réseaux sociaux comme vecteurs principaux de diffusion idéologique.

Tous ces éléments se retrouvent dans le cas signalé à Aix-Marseille Université.

L’analyse des réseaux sociaux du mis en cause révèle une proximité avec plusieurs collectifs dextrême gauche, dont l’Union Étudiante Aix-Marseille, ainsi qu’avec des pages communautaristes à tonalité islamiste. L’ensemble de ces éléments confirme la dimension islamo-gauchiste, dénoncé dans le même rapport, fondé sur des convergences idéologiques entre mouvements islamistes et réseaux militants d’ultra-gauche dans l’enseignement supérieur.

La menace de mort contre une enseignante, désignée, insultée, menacée de mort en raison de son statut, rappelle tragiquement les précédents de Samuel Paty et Dominique Bernard. Il ne s’agit pas d’un simple débordement, mais d’une volonté délibérée de cibler un agent de l’État dans l’exercice de ses fonctions. L’université doit réagir avec fermeté : toute complaisance serait une faute.

L’UNI Aix-Marseille appelle à une ponse pénale ferme : l’opportunité de caractériser les faits et d’engager des poursuites pour menace de mort sur agent publicapologie du terrorisme et incitation à la haine raciale ne doit pas être négligée. Sur le plan universitaire, nous demandons lexclusion définitive de l’établissement, ainsi que linterdiction dinscription dans tout établissement public denseignement supérieur français. Nous demandons enfin à ce que le CROUS envisage sans délai la possibilité d’une résiliation du contrat de logement et d’une exclusion du parc résidentiel universitaire.

Nous exprimons notre soutien total à lenseignante visée, et demandons à l’Université de garantir sa protection, son accompagnement et la reconnaissance institutionnelle du préjudice subi. Aucun professeur ne doit avoir peur de faire son métier.

Au-delà de ce cas, un travail de fond est désormais nécessaire. L’UNI Aix-Marseille demande :

– un audit interne sur les risques de radicalisation à AMU ;

– la désignation dun référent universitaire prévention radicalisation ;

– la formation des personnels à la détection et au signalement ;

– et une coopération renforcée avec le rectorat, le ministère de lIntérieur et les services du CROUS.

Luniversité doit redevenir un espace protégé de transmission du savoir, et non un refuge pour les idéologies de haine nourries par un entrisme islamiste actif et encouragées par complaisance islamo-gauchiste.

Victoire de la liberté d’expression : le Conseil d’État condamne Nantes Université pour l’exclusion illégale de la responsable de l’UNI

L’UNI se félicite de la décision rendue, le 9 mai, par le Conseil d’État, qui suspend l’exclusion injustifiée de notre responsable locale et condamne Nantes Université à lui verser 3 000 euros. Cette décision constitue une victoire majeure pour la liberté d’expression étudiante et un désaveu important pour la direction de l’université.

Les faits sont clairs. En novembre 2023, lors des élections étudiantes, un militant de l’Union Pirate – branche locale de l’Union Étudiante – a tenu des propos ouvertement racistes, filmés par nos militants. Notre responsable locale n’était ni présente lors des faits, ni responsable de la diffusion de la vidéo. Pourtant, elle a été exclue pour neuf mois au motif absurde de ne pas s’y être « opposée ». Une sanction d’autant plus choquante qu’elle a été prononcée sans respect des droits de la défense, dans une procédure manifestement biaisée.

L’UNI dénonce depuis le premier jour l’acharnement de la direction de Nantes Université contre l’UNI. L’Université a utilisé le droit disciplinaire pour sanctionner une militante, coupable seulement d’avoir assumé ses convictions. Ce zèle a conduit à ruiner une année universitaire au mépris des principes élémentaires du contradictoire.

Rétablissant le droit, le Conseil d’État se pose en défenseur ses libertés fondamentales – et en premier lieu celle d’expression. Celles-ci ne s’effacent pas aux portes de l’université. Aucune étudiante ne peut être sanctionnée pour ses opinions politiques. Aucune sanction ne peut être prononcée sur la base de considérations militantes.

Cette affaire illustre la dérive de certains établissements où l’on semble tolérer les violences ou les menaces de l’extrême gauche tout en traquant les étudiants engagés à droite. Nantes Université voulait faire un exemple : elle est aujourd’hui sanctionnée par la plus haute juridiction administrative du pays.

Ainsi, l’université de droit se voit-elle rappelée au droit par sa propre étudiante. La Fontaine en aurait fait une fable.

Pour sa part, l’UNI appelle solennellement le ministère de l’Enseignement supérieur à garantir le pluralisme politique à l’université et à veiller au respect scrupuleux des droits des étudiants.

Pétition : L’Université de Grenoble doit retirer sa propagande anti-blancs

L’UNI apprend avec stupéfaction que dans le cadre du mois de l’égalité, des messages à caractère raciste ont été inscrits dans un bâtiment de l’Université Grenoble Alpes. Nous pouvons notamment y lire “Le monde a mal. Normal, il est dirigé par des blancs et des mâles”, “Le racisme est juste blanc” ou encore “Aux échecs comme dans la vie, les blancs ont un coup d’avance”.

Ces messages inacceptables encouragent le racisme à l’encontre des personnes blanches et diffuse l’idée woke selon laquelle nous serions dans une société systématiquement raciste.

Signe notre pétition pour demander à ce que ces messages soient immédiatement effacés et pour qu’une enquête soit lancée à l’UGA pour connaître les responsables de ces inscriptions !

L’UNI apporte son soutien à l’initiative visant à dissoudre la Jeune Garde

Lors des questions au gouvernement, Bruno Retailleau, le Ministre de l’Intérieur, a annoncé qu’une procédure visant à dissoudre la Jeune Garde serait lancée dans les prochaines heures.

La Jeune Garde est un groupuscule antifa dont la principale source d’action est la violence. Depuis sa création en 2018, il est responsable de nombreux faits de violence lors des manifestations et contre des militants de droite. Les militants de l’UNI ont eux aussi à plusieurs reprises été agressés par ce groupuscule : en février dernier, des membres de la Jeune Garde ont poursuivi des militants de l’UNI avec des couteaux. Plusieurs membres de ce groupuscule d’ultragauche notoirement antisémite, sont actuellement mis en examen pour s’être attaqués à un jeune juif de 15 ans et l’avoir obligé à scander “vive la Palestine”.

L’UNI salue la décision du Ministère de l’Intérieur d’engager une procédure de dissolution contre la Jeune Garde. Depuis sa création, notre mouvement n’a cessé d’alerter sur les agissements violents de ce groupuscule. Cette annonce est une victoire pour tous ceux qui défendent l’ordre : l’UNI se réjouit d’avoir été entendue.

Communiqué : Attaque au couteau dans un lycée à Nantes

L’UNI tient à exprimer sa profonde émotion et sa solidarité envers la famille, les proches et la communauté éducative touchés par le drame survenu ce jeudi 24 avril au lycée Notre-Dame-de-Toutes-Aides. Le décès tragique d’une jeune lycéenne, ainsi que les blessures infligées à trois autres élèves, bouleversent chacun d’entre nous.

Face à cette violence inouïe, nous appelons à une prise de conscience collective sur l’importance de garantir la sécurité dans nos établissements scolaires. Alors que les agressions au couteau explosent dans les établissements scolaires, il est nécessaire que les pouvoirs publics mettent en place des mesures concrètes pour protéger la jeunesse française.