Notre nouvelle représentation nationale est marquée par une victoire inquiétante du « Nouveau Front Populaire » qui porte un projet destructeur pour notre nation.

Cette victoire s’explique par ce que nous dénonçons à l’UNI depuis des années. D’une part, l’extrême-gauche a conquis, par clientélisme, l’électorat communautaire de nos banlieues. D’autre part, l’université française est devenue l’antichambre de l’extrême-gauche. Cette mainmise a permis de fournir des militants et des électeurs en grand nombre au Nouveau Front Populaire.

L’attention doit être portée sur les rouages de l’extrême-gauche. Nous ne devons plus abandonner les universités à la propagande anti-France. L’UNI a toujours été en première ligne dans cette bataille des idées politiques.

Nous félicitons les députés de droite élus ou réélus, particulièrement ceux issus de l’UNI. Nous savons qu’ils mèneront avec ferveur nos combats contre l’islamo-gauchisme et le wokisme, notamment à l’université. L’UNI s’engagera activement à leurs côtés.

Face à l’extrême-gauche et à la macronie, face une France en danger, l’UNI est et restera cette force d’opposition. Nous appelons la jeunesse à ne pas rester spectateur mais à rejoindre nos rangs pour mener ensemble ce combat.

Violences politiques : l’UNI demande que le mobile politique soit reconnu comme une circonstance aggravante 

Ces derniers mois, les agressions des militants de droite par l’extrême-gauche se multiplient : agression d’un militant de l’UNI Bordeaux pendant les élections Crous de février, attaque armée d’un responsable et d’un délégué national de l’UNI à Saint-Etienne et de militants lors d’une conférence à Grenoble et tentative de meurtre sur un militant RN dans la nuit du 18 juin. L’extrême-gauche est de plus en plus violente et les militants de droite sont mis en danger, non plus seulement lorsqu’ils mènent une action militante, mais dans leur vie quotidienne.

Les militants d’extrême-gauche se permettent de menacer, intimider, agresser car ils savent qu’ils ne seront pas inquiétés par la justice. Ce laxisme judiciaire a notamment été flagrant lors d’une agression de trois militants de l’UNI Grenoble il y a deux ans. Malgré une vidéo attestant de la violence de l’agression et plusieurs circonstances aggravantes, les militants d’extrême-gauche n’ont écopé que de 70 heures de travaux d’intérêt général et de 1 000 euros d’amende.

Le caractère politique de ces violences n’est aujourd’hui pas considéré par la loi comme étant un facteur aggravant. Pourtant, il s’agit de violences discriminatoires. Au même titre que le racisme, s’attaquer à une personne car elle ne représenterait pas un idéal de pensée est une circonstance qui devrait être reconnue comme aggravante. Ainsi, afin de mieux punir ceux qui utilisent la force et les menaces pour tenter de faire taire toute opposition, l’UNI demande à Éric Dupond-Moretti à ce que les agressions à motif politique soient reconnues comme une circonstance aggravante.

Il suffirait pour cela d’ajouter le mobile politique à l’article 132-76 du code pénal aux côtés de la race, l’ethnie, la nation ou la religion.

Raphaël Arnault, un militant ultra-violent et fiché S, investi par le Front Populaire aux élections législatives

Les dépôts de candidature pour les élections législatives des 30 juin et 7 juillet se sont terminés hier. Le Front Populaire a présenté un candidat dans 557 des 577 circonscriptions. Dans l’une de ces circonscriptions, Raphaël Arnault, porte-parole de la Jeune Garde, a été investi dans la première circonscription du Vaucluse, à Avignon. 

La Jeune Garde est un groupuscule se proclamant antifasciste. Il a été créé en 2018 dans l’objectif d’être le bras armé de l’extrême-gauche contre ce qu’elle considère comme fasciste, donc tout ce qui ne serait pas de gauche. La Jeune Garde est ainsi souvent impliquée dans des agressions de militants de droite, dont des militants de l’UNI, et sert de service d’ordre à la France Insoumise lors des manifestations et des meetings. Bien qu’il ne revendique pas ouvertement des agressions, le groupuscule annonce régulièrement faire de la « vigilance antifasciste » dans les villes, ce qui s’avère être une chasse aux personnes considérées comme fascistes. En plus d’être un mouvement ultra-violent, la Jeune Garde est aussi un mouvement qui soutient des mouvements et attaques terroristes :

  • La Jeune Garde soutient les attentats islamistes du 7 octobre via un communiqué selon lequel « La résistance palestinienne a lancé une offensive sans précédent sur l’Etat colonial d’Israël ».
  • Ce mois-ci, la Jeune Garde a lancé un collage pour mettre à l’honneur des « figures de la résistance palestinienne », ces figures sont quasiment exclusivement des cadres du FPLP, un mouvement terroriste.
  • En 2021, Luc B, un responsable de la Jeune Garde Lyon, a fait l’apologie du mouvement djihadiste Boko Haram depuis le Niger. Il a également justifié l’assassinat de Samuel Paty, en partageant une photo de la tête décapitée de l’enseignant et commentant : “A force de critiquer, insulter la même religion, voilà le résultat”.

Raphaël Arnault, quant à lui, en plus de diriger ce mouvement, est également fiché S pour être soupçonné de porter atteinte à la sûreté de l’Etat. En avril 2024, il a également été convoqué pour apologie du terrorisme suite à de nombreuses prises de position pro-Hamas.

Les arrangements électoralistes pour créer la NUPES en 2022 avaient déjà acté une rupture pour le PS, mais en acceptant de soutenir la Jeune Garde et le NPA, le PS s’enfonce un peu plus dans la honte et la compromission avec les ennemis de la France. Ce reniement est d’autant plus grave qu’il est cautionné par François Hollande, qui accepte l’alliance avec ces organisations anti-France en se présentant en Corrèze sous l’étiquette Front Populaire.

Face au risque de voir des candidats anti-France arriver à l’Assemblée nationale, l’UNI appelle l’ensemble des personnalités politiques censées à s’opposer publiquement au Front Populaire. Nous appelons par ailleurs les électeurs de droite à se mobiliser dans les urnes les 30 juin et 7 juillet afin d’éviter l’entrée de députés du Front Populaire à l’Assemblée nationale.

Communiqué de presse sur les élections législatives

L’UNI est née en réaction à l’agitation subversive initiée par les gauchistes et leurs alliés et ne peut rester spectatrice de la situation désastreuse dans laquelle ils ont conduit le pays depuis quelques dizaines d’années : désastre migratoire, désastre identitaire, désastre sécuritaire, désastre économique, désastre universitaire… Les socialistes puis les macronistes ont déclassé la France ; l’extrême-gauche cherche à la faire disparaitre. La reconstitution d’un bloc de gauche radicale au projet ouvertement anti-France, islamo-gauchiste et teinté d’antisémitisme autour de La France Insoumise fait peser une nouvelle menace sur le pays. Ces élections sont donc l’occasion de faire barrage à leur projet destructeur.

L’UNI a toujours été favorable à une union des droites la plus large possible. Elle en est même l’exemple puisqu’elle réunit des militants issus de toute la droite autour des mêmes valeurs.

Aussi, elle regrette ce qu’elle considère comme une occasion gâchée par la précipitation.

Pour prendre pleinement part à ces législatives derrière les candidats qui partagent nos valeurs et les défendre dans nos établissements, nous appelons l’ensemble des étudiants et lycéens de droite et patriotes à rejoindre l’UNI pour mener le combat pour la France et les Français. L’UNI, par un apport militant et programmatique, participera pleinement à cette campagne.

Démission d’Eric Carpano, président de l’université Lyon 3

Ce lundi 3 juin 2024 au matin, Eric Carpano a démissionné de son poste de président de l’université Lyon 3, qu’il occupait depuis 2020. Nous prenons acte de cette décision, même si, comme tous, nous avons été surpris par l’annonce de cette nouvelle.

Depuis un certain temps, des bruits courent autour de la présidence de l’université Lyon 3: harcèlement moral, CVEC détournée, manque de transparence

A l’heure actuelle, il nous est impossible de démêler le vrai du faux. Nous avons actuellement besoin qu’une réelle enquête nous dise ce qu’il en est: la justice doit se mêler de ces accusations.

Ce qui est certain, c’est que la ligne de l’UNI Lyon ne change pas: la CVEC (Contribution de la vie étudiante) est une taxe injuste, qui pénalise en priorité les classes moyennes et qui ne profite pas à la grande majorité des étudiants.

L’UNI Lyon militera toujours pour la clarté et la transparence. Nous espérons sincèrement que la future équipe présidentielle sera irréprochable dans l’utilisation des deniers publics. La dépense de l’argent des étudiants n’est pas une problématique à prendre à la légère.

Nos élus seront ainsi toujours attentifs à cette gestion, afin que les étudiants puissent savoir très exactement comment est investi leur argent et que finance-t-il.

Tentative d’attaque au couteau par un marocain au cri de « Par Allah je vais tous vous tuer » à Lyon 2 : le coupable reste libre

Le 23 novembre 2022, alors que les militants de l’UNI tractaient pour les élections aux conseils centraux de l’Université Lyon 2, trois individus hostiles sont entrés dans l’enceinte de l’établissement. Ils ont alors hurlé à nos militants de partir en les traitant de « sale babtou » et ont proféré des insultes en arabe.

Ils s’en sont d’abord pris à une de nos militantes et lorsqu’un autre militant s’est interposé, l’un des agresseurs, un Marocain de 17 ans récidiviste, a sorti un cutter et a crié « sur Allah je vais tous vous tuer » avant de tenter d’assener un coup au visage du militant avec l’arme blanche. La seule raison pour laquelle notre militant n’a pas été blessé, voire tué, est que la lame du cutter s’est bloquée.

Après cette attaque, l’agresseur a déclaré « Je suis musulman et fier, fils de pute » et « Je suis un soldat du ciel ». Un personnel de la sécurité de Lyon 2 a alors tenté d’intervenir avant d’être retenu par un collègue qui lui a dit « Il a un couteau, on n’y va pas, on va se faire tuer ».

Le jugement vient de nous être transmis. Le juge n’a prononcé qu’une mesure éducative de 12 mois à l’encontre du Marocain. Seules les qualifications de possession d’une arme blanche, d’insultes racistes et de recel de bien provenant d’un vol (lié à une autre affaire) ont été retenus à l’exclusion de l’agression pouvant être caractérisée à l’encontre de notre militant et de l’apologie au terrorisme. L’individu reste donc libre et n’a que pour seule obligation de rendre des comptes à un éducateur de la protection judiciaire de la jeunesse.

L’UNI critique vivement cette décision de justice qui démontre encore une fois le laxisme de l’Etat français. Plus que du laxisme, cela relève même d’une certaine complaisance : condamner à un suivi éducatif de 12 mois une personne étrangère qui a tenté d’asséner des coups de cutter au visage d’un étudiant au cri de « par Allah je vais tous vous tuer » met en danger l’ensemble des Français.

Interruption de la table ronde sur la question Palestinienne à l’Université de Lille : les militants pro-hamas accusent la présidence de l’Université de complicité à un « génocide ».

Ce mardi 21 mai à partir de 18h30 se tenait une table ronde organisée par l’université de Lille intitulée : « Israël-Palestine, comment une communauté universitaire s’engage ? ». L’objet pacifique de cette réunion n’a pas empêché des militants d’extrême gauche incarnés par l’association Libre Palestine et la FSE, d’interrompre l’événement en occupant la salle, en faisant une prise de parole abjecte et en empêchant tout discours contraire au leur.

Ces associations ont affirmé qu’un « génocide » se déroule à Gaza, et ont osé affirmer que le président de l’Université de Lille en est complice, rappelant la récente comparaison infâme de Jean-Luc Mélenchon entre le président de l’Université de Lille et Eichmann, un des principaux acteurs de la solution finale.

Ces extrémistes ont aussi appelé les juifs ressentant de l’insécurité à cause du militantisme palestinien à « s’éduquer » sur la question, s’approchant ainsi de l’antisémitisme et ignorant l’explosion de celui-ci dans le pays depuis le 7 octobre 2023.

Sans conséquences, sans sanctions à la hauteur de leurs actes, ces militants d’extrême gauche usent désormais de ce genre de méthodes de manière récurrente. Ils ont déjà cherché à interrompre le dernier conseil d’administration de l’université se tenant le 16 mai, et ils ont réussi à annuler cette table ronde. Ces associations, ces militants, et le message qu’ils portent, représentent un réel danger pour la démocratie et pour le bon fonctionnement des instances universitaires.

L’UNI Lille appelle l’ensemble des acteurs publics, l’Université, le ministère de l’enseignement supérieur à ne pas rester impuissants face à de telles dérives, et à réagir de manière ferme, pour que ces groupes dangereux cessent d’importer le conflit israélo-palestinien sur notre sol.

Une organisation islamiste participe à l’occupation de l’École normale supérieure

Depuis lundi, le campus Ulm de l’École normale supérieure est occupée par des militants pro-palestiniens et d’extrême-gauche. Cette occupation est l’occasion pour les militants d’y diffuser des slogans pro-Hamas. Bien que cette occupation soit inacceptable, nous alertons plus particulièrement sur la présence d’une association : Samidoun.

Cette association, dissoute en novembre dernier en Allemagne car pro-Hamas et antisémite, tient des discours ouvertement violents et belliqueux. Elle avait par exemple distribué des gâteaux dans les rues de Berlin pour fêter les attaques terroristes du 7 octobre. A l’ENS, depuis l’occupation, de nombreuses affiches de cette association sont disposées dans l’établissement. Sur ces affiches nous pouvons lire « L’Algérie a vaincu, la Palestine vaincra ! » ou encore « Liberté pour les prisonniers palestiniens ! », donc terroristes du Hamas inclus.

Pire encore, Thomas Portes, député de La France Insoumise, s’est rendu à l’ENS mardi dernier et a tenu un discours devant une affiche de Samidoun.

Il ne s’agit plus seulement d’organisations d’extrême-gauche ou pro-palestiniennes flirtant avec l’islamisme mais d’une organisation ouvertement islamiste et pro-Hamas glorifiant les attentats du 7 octobre.

L’UNI alerte vivement Gérald Darmanin et Sylvie Retailleau sur la présence de cette association à l’ENS et sur le soutien dont elle bénéficie d’organisations d’extrême-gauche, notamment de La France Insoumise. L’ENS, école d’élite, ne doit pas devenir le terreau de l’islamisme et de l’antisémitisme. L’Etat doit réagir !

Pétition de l’UNI Lorraine: soutenons l’installation de la statue du général bigeard à toul !

Ces derniers temps des militants d’extrême-gauche anti-France ont décidé de se mobiliser pour empêcher l’installation d’une statue du Général Bigeard, héros de l’armée française. Ces derniers voulant aller toujours plus loin dans la repentance et la déconstruction de notre histoire invoquent une campagne calomnieuse sur les actions commises par l’armée lors de la guerre d’Algérie pour demander que ne soit  pas rendu hommage à l’une des figures les plus décorées de France. 

L’UNI Lorraine lance donc une contre pétition pour soutenir l’installation de la statue du Général Bigeard à Toul. Nous nous refusons que l’image calomnieuse lancée par l’extreme gauche empêche de rendre hommage à une légende de chef de guerre. De la bataille de Diên Biên Phù à la bataille d’Alger, le général Bigeard fut l’un des premiers militaires a avoir compris le caractère spécial des conflits modernes et à être l’un de ses précurseurs. Il sera celui qui relèvera l’armée française alors désavouée au lendemain de la guerre d’Algérie. 

Comme le disait si bien cet enfant de Toul qui a gravi tous les échelons: « Il y en a assez de la repentance ! ». La Mairie de Toul ne doit pas céder face aux activistes d’extrême-gauche ! Assumons de rendre hommage à nos héros. 

Signez la pétition pour soutenir l’installation de la statue de Bigeard à Toul !