Du mardi 26 au jeudi 28 novembre se sont déroulées les élections aux conseils centraux de l’Université Savoie Mont Blanc. Les listes « UNI : La droite étudiante ! » ont recueilli 1 193 suffrages nous permettant de faire notre retour dans les conseils de l’Université avec trois élus ! Nous récoltons par ailleurs 25% des suffrages en droit et économie, signe d’une nette volonté des étudiants d’avoir des représentants de droite dans leurs instances. Cela faisait plus d’une décennie que l’UNI n’avait pas autant d’élus dans cette université.

Nos trois élus porteront un projet clair pour le mérite, la liberté d’étudier, la professionnalisation et l’égalité des chances. Pour ce faire, nous axerons notre travail sur la lutte contre la censure de l’extrême-gauche à l’université, la revalorisation du campus d’Annecy et des IUT et une meilleure insertion professionnelle.

Malgré les tentatives de division des voix de droite d’une liste ne dépassant même pas les 10% des suffrages, nous sommes ravis de voir que la proportion d’étudiants à choisir l’UNI, seule droite étudiante, est considérable.

Nous souhaitons remercier les étudiants de l’Université Savoie Mont Blanc qui nous ont fait confiance en votant pour nous, seule liste de droite portant un projet clair pour l’université.

Sonnons la fin des blocages DANS NOS FACS PARISIENNES

Depuis un mois, nos campus parisiens sont occupés par des militants d’extrême-gauche, mobilisés pour exiger l’arrêt des partenariats avec les universités israéliennes. C’est surtout un prétexte pour bordéliser nos facs et tenir des slogans pro-Hamas et antisémites.

Deux universités font l’objet de blocages répétés :

  • à Sorbonne Université : campus de Clignancourt, Jussieu et Sorbonne Mère.
  • à Paris 1 Panthéon Sorbonne : campus de Tolbiac, Cassin et Lourcine.

Par prévention, Sorbonne Université préfère fermer le campus de Clignancourt toute la semaine du 25 novembre plutôt que d’empêcher les blocages. Au campus de Tolbiac, Paris 1 préfère évacuer les étudiants plutôt que d’évacuer les bloqueurs.

Ces blocages nuisent à la valeur de nos diplômes : cours annulés ou en visio, galops d’essai reportés, tenue des partiels menacée. Empêcher les étudiants de suivre leur cursus et de s’investir dans leur parcours est une atteinte inacceptable à leur liberté d’étudier.

De plus, les universités constatent mais n’agissent pas. Nous les alertons depuis un mois sur les blocages mais sommes restés sans réponse. La présidence de Sorbonne Université a refusé de nous rencontrer pour leur proposer des solutions rapides.

Nous ne nous tairons pas face au silence de nos universités et aux blocages de nos cours.

L’UNI DEMANDE AUX PRÉSIDENTS D’UNIVERSITÉS :

  • La fin des blocages : un recours automatique aux forces de l’ordre doit être engagé pour débloquer nos campus.
  • Un retour au calme : un service de sécurité privée doit être mandaté sur nos campus pour assurer le bon déroulement de nos cours, galops d’essais et examens de fin de semestre.
  • Une tolérance zéro : l’université doit sanctionner chaque étudiant bloqueur en les identifiant et en les conduisant en section disciplinaire.

Première victoire de l’UNI dans la mise en place d’un ticket restaurant étudiant. Le ministère doit poursuivre sur cette lancée.

Le Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a annoncé ce lundi 25 novembre le lancement d’une aide financière pour garantir l’accès de tous les étudiants à une alimentation à tarif modéré. Ce nouveau dispositif devrait concerner 100 000 étudiants localisés dans des « zones blanches » (ne disposant pas d’un restaurant CROUS ou conventionné à proximité). D’un montant de 40€ par mois pour les boursiers et de 20€ par mois pour les non boursiers, cette aide sera majorée de 10€ pour les territoires ultra-marins. Grâce à une carte prépayée, les étudiants concernés pourront se restaurer dans les commerces d’alimentation. Sa mise en œuvre est annoncée pour février 2025.

Auditionnée ce jour par le cabinet du ministère, l’UNI a relevé deux problématiques sur cette mesure. La première concerne le montant de l’aide. Par contrainte budgétaire, le montant de 20€ par mois est insuffisant au vu du coût réel d’un repas dans les commerces alimentaires. Initié par l’UNI depuis plus de 20 ans, l’UNI propose dans son projet de ticket restaurant de se calquer sur les prix d’un repas CROUS. Acheté par l’étudiant au prix d’un ticket classique (3,30€ ou 1€), la valeur marchande du ticket correspondrait au double (6,60€). Comme au restaurant universitaire, l’étudiant paierait une partie et l’État complèterait, réduisant ainsi drastiquement les inégalités.

De plus, l’UNI se questionne sur le développement de ce dispositif. Durant l’audition, le cabinet du ministère et la direction des CROUS précisent que cette aide est un « dispositif ultime » qui n’a pas vocation à être développé au-delà des zones blanches, et rappelle qu’aucune concurrence n’est concevable avec le réseau des CROUS. Or, la réalité témoigne de l’insuffisance des restaurants CROUS : 51% des étudiants ne se restaurent pas au CROUS par manque de temps, ou parce que les structures sont inadaptées (38% des étudiants ont moins de 45 minutes pour déjeuner). L’UNI refuse cette idéologie qui interdit toute participation du privé dans notre système d’aide sociale. Un partenariat public et privé est aujourd’hui indispensable.

L’UNI félicite donc le ministère car cette aide pose les fondements de notre projet de ticket restaurant étudiant. Cependant, il doit poursuivre dans cette voie en développant et en élargissant cette aide à tous les étudiants. Le ticket restaurant mettra fin à l’inégalité en donnant accès à tous les étudiants, quelque soit leur lieu d’étude et leur formation, à une restauration à tarif social.

L’exclusion de la responsable de l’UNI Nantes confirmée par le tribunal administratif : le délit d’opinion fait son retour en France

Lors des élections aux conseils centraux de Nantes Université de novembre 2024, le porte-parole local de l’Union Pirate, organisation étudiante d’extrême-gauche qui se présentait également aux élections, a verbalement agressé nos militants en fin de journée sur le campus. Il leur a notamment dit : « Oui j’ai participé aux émeutes […] J’emmerde la police. J’emmerde la France. J’emmerde la race blanche ». Il a réitéré plusieurs fois cette dernière phrase, ce qui a permis à nos militants de filmer ses propos. Par ailleurs, durant le déroulement du scrutin, des militants d’extrême-gauche proches de l’Union Pirate et de Solidaires s’en sont pris physiquement à nos militants, allant même jusqu’à leur jeter des excréments au milieu du campus.

Ces étudiants, à raison, se sentaient probablement intouchables, ceux-ci étant dans une université dont la présidente utilise ses fonctions afin de diffuser une idéologie de gauche. A titre d’exemple, la présidente de Nantes Université avait appelé les étudiants à voter contre Marine Le Pen au second tour de l’élection présidentielle de 2022.

En août dernier, la responsable de l’UNI Nantes, qui n’était pas présente aux moments des faits et qui n’a pas publié la vidéo, a reçu un courrier l’informant que la Présidente de Nantes Université avait saisi la section disciplinaire. Celle-ci a exclu pour une durée de neuf mois notre responsable en octobre dernier au prétexte qu’elle ne s’était pas opposée à la diffusion de cette vidéo. Le porte-parole de l’Union Pirate, lui, n’est toujours pas exclu de Nantes Université alors même qu’entre temps il a suivi puis menacé notre responsable sur son lieu de travail et que nous en avons informé l’université. Les militants d’extrême-gauche qui s’en étaient physiquement pris à nos militants n’ont jamais été exclus non plus. L’Union Pirate et Solidaires disposent toujours de locaux au sein même de l’université.

L’UNI avait saisi le tribunal administratif de Nantes. Il vient de confirmer cette décision au prétexte que notre responsable n’a pas dénoncé la diffusion de la vidéo. L’entièreté des membres de l’Union Pirate devraient-ils être exclus de Nantes Université pour ne pas avoir condamné les propos racistes de leur porte-parole ?

Pour Nantes Université et les juges, dénoncer une agression constitue un trouble mais l’agression en elle-même n’en est pas un et ne porte pas atteinte à l’image de l’université. L’exclusion de notre responsable, à cause de son appartenance à l’UNI, est d’une gravité extrême car il s’agit d’une exclusion à motif politique, celui de supprimer la représentation de la droite dans les universités. Le délit d’opinion semble être de retour en France.L’UNI soutient pleinement sa responsable de Nantes et ne renoncera pas. Nous irons jusqu’au Conseil d’Etat pour obtenir justice. Nous ne reculerons pas devant les présidences d’université et les juges rouges qui tentent par tous les moyens de faire taire la jeunesse de droite.

L’UNI Paris 1 dénonce les blocages et les violences au campus de Tolbiac : une atteinte inacceptable à la liberté d’étudier

Depuis plus de deux semaines, le campus de Tolbiac subit des blocages orchestrés par une minorité de militants d’extrême gauche, qui empêchent des centaines d’étudiants d’assister à leurs cours et de préparer sereinement leurs examens. Cette situation est d’autant plus préoccupante que des méthodes violentes ont été employées, mettant en danger la sécurité de l’ensemble de la communauté universitaire. L’utilisation de fumigènes a déjà conduit à des hospitalisations et représente un risque sérieux pour tous les étudiants et le personnel fréquentant le site de Tolbiac.

Alors que le mois de novembre marque une période cruciale d’évaluations intermédiaires et de préparation pour les partiels, ces actions perturbent gravement la vie universitaire. Pour beaucoup, le premier semestre est le plus exigeant ; il est donc essentiel que les cours puissent se dérouler dans des conditions sereines. Empêcher les étudiants de suivre leur cursus et de s’investir dans leur parcours est une atteinte inacceptable à leur droit à l’étude.

L’UNI condamne fermement ces blocages et l’usage de la violence pour imposer des idées. Ces agissements ne font qu’alimenter un climat de tension et d’insécurité, incompatible avec la mission de l’université et avec l’excellence de nos diplômes.

À ce titre, les représentants étudiants de l’UNI sont pleinement investis dans cette cause et travaillent activement avec ses élus et la présidence de Paris 1 pour prévenir et empêcher toute entrave à la liberté d’étudier.

Lors des élections étudiantes, qui se tiendront du 18 au 20 novembre, l’UNI, avec sa liste « UNI : Mérite, Excellence, Réussite”, portera la voix de ceux qui défendent un parcours académique sérieux, serein et d’excellence. Cette élection sera l’occasion de réaffirmer l’importance de cette liberté fondamentale et de choisir des représentants déterminés à la préserver.

Nous appelons la direction de l’université et les autorités compétentes à prendre des mesures fermes et immédiates pour mettre fin à ces violences et permettre la reprise des cours. La sécurité des étudiants doit être une priorité absolue.

L’UNI reste pleinement mobilisée pour défendre la liberté d’étudier et assurer des conditions d’études optimales.

Pour la rénovation du bâtiment du campus Pasteur à Rouen

Le bâtiment du campus Pasteur est de plus en plus vétuste : fuites dans les couloirs lorsqu’il pleut, mobilier de plus en plus dégradé… Le bâtiment n’est plus adapté aux étudiants.

Par ailleurs, il y a un besoin urgent d’installer des prises dans les amphithéâtres pour étudier dans de meilleures conditions.

Les étudiants doivent pouvoir étudier dans un cadre adapté.

Signe notre pétition demandant la rénovation du bâtiment du campus Pasteur, notamment en colmatant les fuites et en installant plus de prises, en scannant ce QR code !

Pour la rénovation du bâtiment 1 du campus Jacob

Depuis des années, le bâtiment 1 du campus Jacob Bellecombette est de plus en plus vétuste : fuites dans les amphis lorsqu’il pleut, mobilier de plus en plus dégradé… Le bâtiment n’est plus adapté aux étudiants.

Il est inacceptable que l’administration laisse notre université se dégrader de la sorte.

Les étudiants doivent pouvoir étudier dans un cadre adapté.

Signe notre pétition demandant la rénovation du bâtiment 1, notamment en colmatant les fuites et en installant plus de prises !

Pour des sanctions contre l UNEF, l Union étudiante et les étudiants impliqués dans l’attaque de Lyon 3 !

Vendredi dernier, alors que l’extrême gauche, notamment l’UNEF et l’Union étudiante, avait décidé de se mobiliser contre la venue de Yaël Braun-Pivet à l’université, les manifestants sont entrés de force dans l’université, s’en sont physiquement pris aux agents de sécurité et ont rapidement interrompu les cours dans les amphithéâtres. Ils ont par ailleurs dégradé du matériel, notamment dans l’amphithéâtre censé accueillir la conférence de Yaël Braun-Pivet.

Ils ne se sont pas arrêtés là. Alors que les étudiants étaient confinés en cours avec la consigne de ne pas sortir de salle sauf en cas d’impératif, l’un des leaders de l’Union étudiante, Thimotée Martin-Brossat, a appelé la foule à s’en prendre à notre local. Un groupe de militants d’extrême-gauche et pro-palestiniens s’est alors dirigé en direction du local de l’UNI pour enfoncer sa porte et le saccager. Les membres de l’UNI se trouvant à l’intérieur ont été agressés. Un extincteur a notamment été utilisé pour frapper l’un de nos membres. Les agresseurs ont ensuite volé notre matériel et l’ont détruit dans la cour de l’université sous le chant « Lyon antifa ».

Cette attaque contre Lyon 3 et le local de l’UNI s’est déroulée à cause du sentiment d’impunité dont bénéficie l’extrême-gauche. Il n’est pas acceptable qu’au sein d’une université française, des centaines de militants envahissent une université afin d’empêcher la tenue d’une conférence, de détruire le matériel universitaire, d’interrompre les cours et d’agresser les étudiants qui ne seraient pas de gauche.

L’UNEF et l’Union étudiante et tous les étudiants impliqués dans cette attaque doivent être immédiatement sanctionnées, exclus de l’université et poursuivis en justice. Signe notre pétition pout interpeller Lyon 3 et les pouvoirs publics !

Attaque de Lyon 3 par l’extrême-gauche : dégradations, annulation d’une conférence, local de l’UNI saccagé, étudiants de droite agressés…

Aujourd’hui, un nouveau cap a été franchi à Lyon 3. Alors que l’extrême gauche, notamment l’UNEF et l’Union étudiante, avait décidé de se mobiliser contre la venue de Yaël Braun-Pivet à l’université, qualifiée de « sioniste de service », les manifestations ont débordé au sein du campus de la Manufacture des tabacs. Les manifestants sont entrés de force dans l’université et ont rapidement interrompu les cours dans les amphithéâtres. Ils ont par ailleurs dégradé du matériel, notamment dans l’amphithéâtre censé accueillir la conférence de Yaël Braun-Pivet.

Ils ne se sont pas arrêtés là. Alors que les étudiants étaient confinés en cours avec la consigne de ne pas sortir de salle sauf en cas d’impératif, l’un des leaders de l’Union étudiante, Thimotée Martin-Brossat, a appelé la foule à s’en prendre à notre local. Un groupe de militants d’extrême-gauche et pro-palestiniens s’est alors dirigé en direction du local de l’UNI pour enfoncer sa porte et le saccager. Les membres de l’UNI se trouvant à l’intérieur ont été agressés. Un extincteur a notamment été utilisé pour frapper l’un de nos membres. Les agresseurs ont ensuite volé notre matériel et l’ont détruit dans la cour de l’université sous le chant « Lyon antifa ». Une plainte sera déposée.

Cette attaque contre Lyon 3 et le local de l’UNI s’est déroulée à cause du sentiment d’impunité dont bénéficie l’extrême-gauche. Il n’est pas acceptable qu’au sein d’une université française, des centaines de militants envahissent une université afin d’empêcher la tenue d’une conférence, de détruire le matériel universitaire, d’interrompre les cours et d’agresser les étudiants qui ne seraient pas de gauche.

Il doit y avoir un sursaut de la part de l’ensemble des acteurs : étudiants, professeurs, doyens, présidents d’universités, politiques, afin que cette insécurité grandissante dans les universités ne se transforme pas un jour en drame. Tous les étudiants impliqués dans cette attaque doivent être immédiatement exclus de leur université et poursuivis en justice. L’UNI ne cédera pas et continuera de porter une voix singulière à l’université : celle d’une jeunesse qui refuse de voir l’enseignement supérieur être détruit par une minorité d’extrême-gauche.