Nos élus doivent agir contre le droit de vote des étrangers

Par UNI Archives

Le 6 décembre 2011 à 14h17

UNI

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Madame, Monsieur,

L’heure est grave ! Le Sénat va voter dans les tous prochains jours la loi qui va rendre possible le fait pour un étranger de voter sur notre territoire.

Le Sénat, majoritairement à gauche depuis septembre dernier est quasiment assurée de valider ce choix, déjà adopté par l’Assemblée nationale le 3 mai 2000 lorsque Lionel Jospin était Premier ministre. Selon les règles constitutionnelles, tout est donc prêt pour que le Sénat valide cette proposition que la gauche agite à chaque fois qu’elle est au pouvoir, et cela depuis plus de 30 ans.

Le droit d’être élu dans nos territoires doit demeurer un droit attaché à la nationalité française, étendue pour les élections municipales et européennes aux citoyens européens qui partagent avec nous une communauté de destin.

Madame, Monsieur, nous en sommes persuadés : il est encore temps d’agir ! En France, le droit de vote est indossociable de la citoyenneté. Donner le droit de vote aux étrangers, cela reviendrait à vider la citoyenneté d’une part essentielle de sa substance.

Parce que le droit de vote ne s’achète pas, parce qu’être étranger et ne pas voter en France empêche quiconque de voter dans son pays d’origine et parce qu’enfin, accorder le droit de vote aux étrangers engendrerait une rupture d’égalité entre un étranger vivant en France et un français vivant à l’étranger, il faut agir. Et vite. C’est pourquoi, je vous demande, en votre âme et conscience, d’interpeller votre Sénateur, en lui demandant d’agir non pas dans l’intérêt d’une caste, de la gauche, mais dans celui de la Nation tout entière.

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