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Ce mercredi 24 mars, la presse rapporte que le président de la République a commandé une note confidentielle aux renseignements territoriaux sur l’état du syndicat étudiant d’extrême-gauche, l’UNEF.

Cette note, dévoilée par certains journaux, démontre ce que l’UNI dénonce déjà depuis bien longtemps : l’islamo-gauchisme, le racialisme et les accointances avec l’islam radical ont gangréné ce mouvement étudiant.

En effet, avec les tweets moquant l’incendie de Notre-Dame, les insultes envers les « blancs » et les réunions en « non-mixité », l’UNEF s’est largement éloignée de ce qu’elle a toujours prétendu être, à savoir un syndicat universaliste et laïc.

Ceci n’est en rien une surprise : en plus des alertes que nous lançons depuis des années, la présidente de l’UNEF a confirmé et assumé en direct à la radio la dérive idéologique de son mouvement.

Ainsi, maintenant que le président de la République est devant le fait accompli, il ne peut plus reculer ! Il doit agir, et couper les subventions publiques attribuées chaque année à l’UNEF : plus d’un demi-million d’euros encaissés pour pouvoir faire progresser l’idéologie de la haine anti-française !

De plus, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, doit lui aussi faire preuve de courage et s’attaquer aux dérives de l’UNEF en s’appuyant sur les fondements du projet de loi contre le séparatisme. La note reçue par l’Élysée estime en effet que le syndicat s’éloigne des « valeurs républicaines », quand le ministre assure ne plus vouloir d’argent public pour les ennemis de la République !

L’UNI demande que l’argent public des français ne puisse plus financer les délires idéologiques d’un syndicat en perte de vitesse. L’UNI réclame des actes forts et des sanctions contre l’extrême-gauche étudiante qui gangrène nos universités en toute impunité. Il en va de l’avenir de la France.