Une fois de plus, le SNESup et l’UNEF essayent de semer le trouble à l’université.

Par UNI Archives

Le 6 février 2009 à 19h32

Image Une fois de plus, le SNESup et l’UNEF essayent de semer le trouble à l’université.

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Le jeudi 5 fevrier 2009 à la Faculté de Droit, Economie et Gestion a eu lieu une Assemblée Générale organisée par des étudiants d’extrême gauche venus de la Faculté de Lettres. Ces étudiants,peinant dans la “conversion” du peu d’étudiants de Droit présents, ont été soutenus par un enseignant du SNESup rompu à l’agitation universitaire. Le mouvement révèle ainsi son vrai visage : une mobilisation d’étudiants instrumentalisée par et pour des enseignants d’extrême gauche. C’est au final avec 25 voix seulement dans un vote à main levée en faveur de la grève des étudiants que l’ultragauche réussit à engager et impliquer tout une Faculté de plus de 3000 étudiants.


L’UNI Angers, fortement représentée lors de cette AG, a rétabli la vérité sur un énième mouvement de contestation contre des réformes indispensables pour l’avenir de l’Université française.

L’UNI Angers, dans l’intérêt des étudiants et afin de préserver le bon déroulement de l’année universitaire se prononce contre une grève imposée par une minorité d’enseignants. De plus, l’UNI Angers dénonce un vote ridicule, illégitime et dangereux pour la sérénité de la Faculté de Droit, Economie et Gestion.

De même, l’UNI Angers s’étonne que les étudiants grévistes aient besoin d’un enseignant, véritable professionnel de l’agitation, pour faire pencher une assemblée générale. Démontrant une fois de plus la véritable motivation de ce mouvement.

L’UNI Angers dénonce cette parodie de démocratie organisée par d’irresponsables extrémistes et appelle immédiatement le Doyen de la Faculté de Droit, Economie et Gestion à prendre ses responsabilités en interdisant toute future Assemblée Générale dans les locaux de la faculté afin de préserver le calme et la sérénité pour l’écrasante majorité des étudiants non contestataires.

5 février 2009

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